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La pénurie d’enseignants met en péril les établissements scolaires d’Ahwaz, face à l’indifférence de l’envahisseur à trouver une solution.

 

Des informateurs au sein du Département de l’éducation de l’État arabe d’Ahwaz ont signalé un manque significatif d’enseignants dans les écoles d’Ahwaz, malgré l’abondance des ressources d’Ahwaz, et une négligence manifeste de la part de l’occupation perse. Les institutions d’Ahwaz sont confrontées à une déficience majeure en termes d’enseignants, ce qui a conduit à solliciter des professeurs à la retraite pour combler ce vide.

Un rapport sur le personnel à Ahwaz montre une insuffisance de plus de 3400 travailleurs et professionnels dans les domaines administratifs et éducatifs. Près de 70 000 enseignants exercent actuellement dans les écoles d’Ahwaz, privant ainsi de nombreux jeunes d’Ahwaz d’une éducation appropriée.

En outre, au-delà de la carence en personnel éducatif et administratif, il y a un manque criant en matière de services, y compris le personnel de sécurité et les fonctionnaires.

Une étude antérieure a signalé que « l’éducation à Ahwaz, sous le poids de l’occupation, est caractérisée par une érosion de l’identité et un taux d’analphabétisme élevé ». L’étude a indiqué que, bien qu’Ahwaz soit dotée de vastes ressources, notamment pétrolières, ses résidents endurent une pauvreté délibérée, avec des répercussions notables sur le système éducatif, en raison de l’occupation iranienne qui dure depuis des décennies.

L’étude a également mis en évidence la négligence délibérée de cette région par le régime iranien, même si elle fournit plus de 75 % de ses exportations de pétrole.

L’étude a couvert plusieurs aspects : premièrement, Ahwaz, son environnement et ses habitants; deuxièmement, la situation éducative dans la région; troisièmement, la discrimination à l’encontre des étudiants arabes; et quatrièmement, la problématique de la pénurie d’enseignants.

Elle a également observé que de nombreux enseignants d’origine perse se permettent de ridiculiser les élèves arabes du fait de leur maîtrise insuffisante du persan, mettant en évidence le manque flagrant de cadres formés et d’enseignants qualifiés dans la région arabe d’Ahwaz.

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